Coupure de courant et mesures de sécurité
Afin de soutenir la thèse de l'impossibilité d'une démolition contrôlée au WTC, les Debunkers affirment que la coupure de courant survenue dans la Tour Sud pendant le week-end précédant le jour des attentats, et décrite par le spécialiste de la TIC, Scott Forbes, n'est qu'une affirmation infondée, afin de réfuter au mieux l'occasion, voire la possibilité de déposer des explosifs.
Cependant, ils s'appuient sur ses autres témoignages supposés être différents entre eux, comme la période de cette absence de courant, soit 26 heures, ou bien 36 heures. Mais les Debunkers s'acharnent à prétendre le mensonge, plutôt que de réfléchir à un raisonnement tout bête. Pretendre une période de 36 heures n'est pas forcément tolérée comme une exactitude en soi, mais peut bien être une moyenne générale.
Si 26 ou 30 heures suffisent à dire plus explicitement cette période, alors cette période de 36 heures n'est rien qu'une interprétation.
Les Debunkers concluent que Scott Forbes aurait évoqué une divergence dans son témoignage, comme quoi il avait affirmé que le 50ème étage avait été affecté par la coupure de courant, mais qu'il ne pouvait guère le vérifier compte-tenu de la position des bureaux de la Fiduciary Trust au 90ème étage. Pourtant, Forbes n'affirme pas explicitement, en parlant d'étages inférieurs, qu'il s'agissait d'une coupure de courant situé entre le 50ème et le 90ème étage, mais probablement des étages inférieurs au 50ème étage.
Tout ce qu"il pouvait dire, c'est que lui et les employés ont été informés de la condition de la mise hors tension, qu'ils devaient décrocher tous les systèmes, afin de pouvoir ramener le lendemain, tous les systèmes à l'anormal.
Les Debunkers affirment que les Conspirationnistes n'ont jamais été en mesure de citer un autre employé susceptible de corroborer cet événement significatif. En résumé, ils affirment tout simplement qu'il n'y a qu'un seul témoin dans l'histoire.
Ceci est un mensonge, car en cherchant bien, on trouve forcément.
Gary Corbett est un ancien employé de Fiduaciary Trust Company International, une banque qui était situé aux étages 90, 94 et 97 du WTC 2 et il travaillait comme opérateur téléphonique.
Ainsi donc, les Debunkers ne peuvent plus affirmer qu'il existe qu'un seul témoin de cette fameuse coupure de courant, à moins de prétendre encore que cela ne soit pas suffisant.
Mais pour démontrer qu'ils veulent avoir raison par tous les moyens, les Debunkers s'empressent de poser de fausses questions sur une possibilité de photo, montrant les Tours Jumelles à moitié éclairées à ce moment-là. Croyez-vous sincérement que l'on chercherait à prendre une photo de ce genre, si on ne suspecte rien avant, par simple étât d'esprit ? Il en va de même pour les 2 autres Tours.
Toutefois, les Debunkers continuent à s'appuyer sur leurs affirmations, en évoquant le cas du retrait des chiens de sécurité au WTC.
" Les chiens policiers ont été retirées du WTC, et les agents de sécurité ont terminés leur poste de 12h, au bout de deux semaines. "
En effet, à titre d'exemple censé montrer que la surveillance des lieux a été relâchée dans les jours qui précédaient le 11 septembre 2001, les équipes de chiens policiers renifleurs d'explosifs n'ont pas été retirées totalement du complexe du WTC, et que la sécurité fut tout simplement retournée à son niveau normal. A vrai dire, cela n'importe peu. Avant même d'entrer dans cette explication, il suffit de se référer d'abord au débat radiodiffusé (par KGNU Radio, le 26 octobre 2006) avec Steven Jones, l'ingénieur en chef du WTC Leslie Robertson, relatant l'impossibilité de placer des charges explosives.
" Maintenant, pour provoquer une démolition contrôlée à chaque étage, partout au second étage, au troisième étage, quel que soit le scénario imaginé pour créer une telle rapidité de démolition, cela demanderait des moyens absolument considérables, qui auraient nécessité un arrangement avec les services de police et les employés. Vous ne pouvez pas vous balader dans le bureau de quelqu'un et installer tranquillement des explosifs sur des poteaux. Je pense qu'il faut oublier ça. Avant et après le 11 Septembre, tous les espaces occupés. Vous pouvez accomplir n'importe quoi, du moment qeu vous avez les moyens de la faire. Mais je vous défie de débarquer dans des immeubles de bureaux, avec un sac à dos rempli de thermite et d'explosifs, afin de l'impliquer à un poteau et supposer que cela en restera là. C'est ridicule ... "
Le problème est que les affirmations de Leslie Robertson sont nulles et non avenues, car elles ne peuvent se résulter qu'à plusieurs choses. Il est façile de prétendre ce genre de raisonnement sur cette impossibilité après les attentats, plutôt qu'avant. En ce qui concerne les chiens policiers, ces derniers sont entrainés à flairer les explosifs courants, tels que le RDX, la poudre noire, la nitroglicérine, etc ...
Mais croyez-vous sincérement qu'ils ont été dressés pour renifler la Thermite ?
Croyez-vous sincérement, par la suite, qu'ils peuvent inspecter tous les endroits au mètre carré ?
Avec un avantage psychologique considérable, qui des 50 000 employés pouvait avoir la volonté d'imaginer une seule seconde une intrusion de ce genre, avec, par exemple, des individus de type caucasien, déguisés en ouvriers banals, intervenant dans des travaux en toute légalité en guise de couverture et introduisant par la même occasion les explosifs en question, tels qu'ils soient. Quand les gens se baladent dans les rues, et croisent des zones de chantier en tout genre, ces derniers n'ont aucune raison de suspecter quoi que ce soit ou même d'observer attentivement ce que les ouvriers sont en train de faire.
En résumé, il n'y a pas plus invisible que l'ouvrier lui-même et l'analyse ne s'arrête pas là.
Comme Robertson, les Debunkers affirment qu'il est parfaitement ridicule que des charges explosives auraient pu être "câblées" sur des poteaux des gratte-ciel. C'est plutôt leur manque total d'imagination, voire d'enseignement qui est ridicule. Lorsque vous voulez démolir un immeuble, en le faisant passer pour un effondrement naturel et spontané, il n'est en aucun cas nécessaire d'utiliser des explosifs avec des "câbles". Il n'est pas nécessaire non plus d'en mettre à chaque étage de surcroit. Ni de les mettre en surface ou sur des poteaux, comme dans les Démolitions Contrôlées " classiques ".
Pourtant, la recette est simple.
Il suffit simplement d'utiliser des charges explosives, RDX ou C-4, avec télécommande radio à distance, à aimant magnétique permanent, et les placer là où il faut, quand il le faut, par les cages d'ascenseurs, à partir des colonnes intérieures du noyau central.
Au final, les Debunkers, au vu de leur profonde médiocrité et leur manque total de discernement, ne font qu'entretenir de fausses explications sur l'impossibilité de dépôt d'explosifs dans les Tours, alors qu'il suffit d'analyser minutieusement la méthode d'approche.
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